La famille O'Farrell est immigrée au Québec vers 1820 et s'est installée à Saint-Malachie, Québec.
James O'Farrell (1846-1893), fermier marchand, possédait et exploitait un magasin général à Saint-Malachie. Il a également été secrétaire-trésorier de la ville de Saint-Malachie. Il était marié à Catherine Reid (1849-1910). Leur fils, James T.A. O'Farrell (1886-1973), était fermier. Il épousa Susan Cassidy (1887-1946) en 1953. Ensemble, ils eurent quatre enfants, Francis (1919-1992), Norman Patrick (1924-2001), James J. J.A. (1928-2000) et Guillaume. L'aîné, Francis O'Farrell, était marié à Berthe Renaud (1923-2010). Ensemble, ils ont eu trois enfants, Kevin, Glenn et James. Francis O'Farrell a été élu député libéral à l'Assemblée législative de Dorchester, au Québec, en 1964. Son frère Norman O'Farrell était marié à Mary-Sarah Paulmert, et James J.A. O'Farrell était marié à Madeleine Selway. William O'Farrell était marié à Ruth O'Rourke. Mary Bridget O'Farrell était la nièce de James O'Farrell et la cousine de James T.A. O'Farrell.
La Galerie d'art Optica a été officiellement fondée en janvier 1972, par William E. Ewing lorsque des pressions d'artistes l'ont convaincu du besoin urgent d'un centre de diffusion de la photographie. Initiallement nommée Galeries photographiques du Centaur, elle logeait au sein même du théâtre, dans le Vieux-Montréal. Son mandat était la diffusion de l'art contemporain.
Après des rénovations en 1974, la galerie changea son nom pour Optica. Après des débuts exclusivement consacrés à la photographie, le centre ne tarda pas à amorcer, avec l'exposition Camerart (Decembre 1974 - Janvier 1975), une ouverture vers les autres disciplines. La galerie se consacra désormais la moitié de ses activités à la photo, et l'autre à d'autres courants d'art.
Pendant la saison 1976-1977, des changements de politiques internes permettent à la galerie d'ouvrir ses portes à l'art conceptuel, aux performances, à la peinture et à la sculpture. En 1977, la galerie ajoute à son nom «un centre au service de l'art contemporain». Durant la même période, sa programmation est aussi modifiée et une section de cinéma expérimental y fait son apparition.
Le centre est dirigé par un Conseil d'administration composé de quinze membres provenant majoritairement du milieu culturel. Ceux-ci sont appelés à participer de façon active, aux projets de la galerie et à s'impliquer auprès des associations dont la galerie fait partie, c'est-à dire le Regroupement des centres d'artistes autogérés du Québec, le Regroupement d'artistes des centres alternatifs et la Société des Musées Québécois.
La Galerie est maintenant subventionnée par les conseils des Arts (du Canada, du Québec et de la Communauté urbaine de Montréal).
Victor Teboul, écrivain, journaliste et enseignant, est né le 9 mai 1945 à Alexandrie, en Égypte. En 1956, avec ses parents et sa sœur Flora, il quitte ce pays pour la France à la suite de la guerre de Suez lorsque de nombreuses familles juives sont expulsées d’Égypte. Sa famille,
comme quelques centaines de réfugiés juifs, est hébergée au couvent de Notre-Dame-de-l'Osier dans l'Isère, avant de gagner la région parisienne où Victor Teboul fréquente de 1958 à 1962 l’école privée The English School of Paris située à Andrésy en Seine-et-Oise. Il poursuit ensuite à Paris ses études à l’École supérieure de journalisme (1962-1963).
La famille Teboul immigre au Québec en 1963. Victor s’inscrit à l’école de journalisme, Studio 5316, à Montréal. En 1965, il poursuit ses études d’abord au Sir George Williams High School, puis en 1966 à l’Université Sir George Williams (aujourd'hui Université Concordia) où il obtient un B.A. en 1969. Il s’inscrit la même année à l’Université McGill où il obtient en 1971 un diplôme de maîtrise en lettres françaises et québécoises et où il est chargé de cours de 1971 à 1973. Il est ensuite professeur invité au Collège universitaire de Hearst, affilié à l'Université Laurentienne, aux sessions d'été de 1974, 1975 et 1976 ; il y enseigne la littérature québécoise et les communications. Durant les 30 années suivantes, soit de 1977 à 2007, il enseigne la littérature au Cégep Lionel-Groulx de Sainte-Thérèse. Tout en menant sa carrière d’enseignant, il poursuit sa spécialisation en littérature québécoise à l’Université de Montréal où il complète en 1982 une thèse de doctorat sur l’hebdomadaire libéral Le Jour, fondé en 1937 par Jean-Charles Harvey. Il est également chargé de cours en histoire à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) entre 1989 et 1997.
À la fin des années 1960 et au début des années 1970, Victor Teboul est journaliste-pigiste auprès du Nouveau Samedi, de La Patrie et de la revue L'Actualité. Il collabore aussi au magazine Perspectives et au mensuel Nouveau Monde, premier magazine juif de langue française publié au Québec, dont il devient le rédacteur en chef en 1972. Il écrit également de nombreux articles dans le journal Le Devoir et également dans le quotidien anglophone The Gazette, dans lequel il signe une chronique sur l'éducation à la fin des années 1980.
Comme écrivain, Victor Teboul publie en 1977 Mythe et images du Juif au Québec (Éditions Lagrave), un essai qui provoqua un débat public puisqu’il remettait en question la représentation des Juifs et d'Israël dans la littérature québécoise et les médias. En 1984, il publie sa thèse de doctorat sous le titre : Le Jour : Émergence du libéralisme moderne au Québec (HMH Hurtubise). Plus tard, en 1999, il publie son premier roman Que Dieu vous garde de l'homme silencieux quand il se met soudain à parler (Les Intouchables), où est décrite l’intégration d’un jeune Juif sépharade dans la société québécoise. Suivront par la suite d’autres romans et essais tels que La lente découverte de l’étrangeté (Les Intouchables, 2002), et Les Juifs du Québec : in Canada we trust : réflexion sur l’identité québécoise (L’ABC de l’édition, 2016). De 1981 à 1986, Victor Teboul dirige la revue Jonathan, publication mensuelle qu'il a fondée au sein du Comité Canada-Israël, organisme dont il est le directeur régional. Cette revue visait à faire connaître le pluralisme de la communauté juive et de la société israélienne. Dans le cadre de ses fonctions de conseiller en communications au ministère des Communautés culturelles et de l’Immigration du Québec, poste qu’il occupe de 1989 à 1991, il réalise la publication «Une femme, un vote» parue à l’occasion du 50e anniversaire de l’obtention du droit de vote par les femmes québécoises.
En 1979 et 1980, Victor Teboul participe activement à la conception et réalisation d’une série d’émissions sur la communauté juive intitulée « En tant que Juifs » diffusées dans le cadre du programme « Planète » de Radio-Québec dont il est l’animateur et le recherchiste. En décembre 1981, il réalise une entrevue diffusée en mai 1982 à la radio de Radio-Canada, avec René Lévesque, alors premier ministre du Québec, portant sur les rapports entre Juifs et Québécois. L’entrevue fait partie d’une série de 14 émissions sur la Communauté juive du Québec, dont Victor Teboul est l’auteur, qui a été diffusée sur la chaîne culturelle de la radio de Radio-Canada en 1982. L’intégralité de l’entrevue avec René Lévesque est publiée en 2001 dans René Lévesque et la communauté juive (Les Intouchables). Victor Teboul est également l'auteur d’autres séries radiophoniques diffusées sur la chaîne culturelle de Radio-Canada, notamment d’une série sur le 40e anniversaire de l’État d’Israël, diffusée en 1988, et d’une autre sur la diversité intitulée «Le Québec au Pluriel» diffusée en 1989. Il est enfin l’auteur d’une série de 8 émissions radiophoniques sur le libéralisme au Québec, diffusée à la radio de Radio-Canada en 1988, inspiré de son ouvrage Le Jour : Émergence du libéralisme moderne au Québec.
De 1983 à 1987, il est membre du Conseil supérieur de l’éducation et de 1987 à 1989 du Conseil de presse. En 2005 et 2008, il est membre du jury des Prix littéraires du Gouverneur général du Canada pour la catégorie Essai ainsi que du Jury du Conseil des arts pour l'attribution des bourses d'écrivains dans la même catégorie.
Victor Teboul est le directeur du webzine Tolerance.ca qu’il a fondé en 2002 pour promouvoir un discours critique sur la tolérance et de diversité.
There is a long tradition of athletics at Loyola. Almost as soon as the College was founded, field days (track and field competitions) were held once a year. In the Loyola College Review of 1915, the Sport pages refer to the Field Day, but also to numerous competitive sports, including Football, Hockey, and Basketball.
In the 1934-35 calendar, the Physical Culture section states that the physical training is by no means overlooked. The mandate of the Loyola College Athletic Association is also stated: The Loyola College Athletic Association was formed to encourage physical exercise and to create and foster a college spirit among the students. All athletics matters were under the supervision of the Athletic Board of Control. Intra-mural leagues were organized and the college was represented in inter-collegiate leagues as well.
In 1965, Edmund Enos was appointed director of the Department of Athletics. Under his direction, Loyola’s Athletic Program was extended and was considered one of the best in the country.
The teams who defended the Loyola colors were called the Warriors for men and the Tommies for women. The Sports Hall of Fame came into existence in 1967 to honour Loyola athletes and builders. Today, the program still exists as the Concordia Sports Hall of Fame. The Department published Programs in the 1960s and 1970s which took different names over the years: Loyola Athletic Programme, Program, Athletic Program, etc.
Loyola College merged with Sir George Williams University in 1974 to create Concordia University. Following the recommendations of a committee to evaluate the Student Services area, the two departments were merged into a single unit in 1975. The director of the Loyola College Department of Athletics, Ed Enos, became director of the newly formed department.
1986: MIGS is founded by Dr Frank Chalk and Dr Kurt Jonassohn and based in the departments of History and Sociology/Anthropology at Concordia University. In recent years, Concordia faculty members and graduate students from Communications, English, Geography, and Political Science have joined in its work, as have colleagues from McGill and the University of Quebec in Montreal. MIGS is a research centre of the Faculty of Arts and Science of Concordia University. The Montreal Institute for Genocide and Human Rights Studies (MIGS) is recognized internationally as Canada’s leading research and advocacy Institute for genocide and mass atrocity crimes prevention, the Montreal Institute for Genocide and Human Rights Studies (MIGS) conducts in-depth scholarly research and proposes concrete policy recommendations to resolve conflicts before they degenerate into mass atrocity crimes. MIGS has achieved national and international recognition for its national interest approach to the prevention of genocide and mass atrocity crimes from policymakers, academics, leading research institutes, and the media. Today, MIGS is Canada’s leading voice and international partner on Responsibility to Protect issues.
The Office of the Principal of Sir George Williams University has its origins in the reorganization of the educational program of the Montreal Young Men's Christian Association (Y.M.C.A.) in the 1920s, culminating in the establishment of a separate branch called the Montreal Y.M.C.A. Schools in 1925. The schools thus became a separate unit in the Montreal Metropolitan Y.M.C.A. organization, under the direction of its own Board of Management (which became the Board of Governors in 1937) and its own executive head, the Principal. In 1926, the Montreal Y.M.C.A.Schools became a coeducational institution and changed its name to Sir George Williams College. The Principal was appointed by the Montreal Y.M.C.A. Metropolitan Board on the advice of the Sir George Williams College Board of Management. A. W. Young was the first Principal; his term of office was 1925-1928. In 1948, Sir George Williams College obtained a university charter. That year a special by-law (art. VII, sect. 11) of the Corporation of Sir George Williams College defined the duties of the Principal as follows:
"The Principal of the College, under the direction of the Board of Governors, shall have charge and general control of the work of the College, and shall attend meetings of the Board of Governors and of Committees of the Board. He shall certify all contracts and all bills for payment. He shall define the duties of all employees of the College, who shall report to him as the Executive Officer of the Board in such manner as he may direct."
In 1959, the College requested that the Quebec Legislature amend its charter, changing its name to Sir George Williams University. In 1974, the University merged with Loyola College to create Concordia University. The Office of the Principal of Sir George Williams University thereafter became the Office of the Rector of Concordia University.
The Office of the Principal of Sir George Williams College and later, University, played a significant leadership role in the development of the institution. The Office of the Principal was occupied not only with day-to-day affairs, but also provided vision and guidance for the development of the fledgling institution. Sir George Williams began as a small institution with an unrecognized program, growing dramatically in the period after World War II and again in the 1960s, when there was a dramatic increase in demand for higher education.
The Principals of Sir George Williams College and University were:
Anson W. Young 1925-1928
Frederick O. Stredder 1928-1935
Kenneth E. Norris 1936-1956
Henry F. Hall 1956-1962
Robert C. Rae 1962-1968
Douglass B. Clarke 1968-1969
John W. O'Brien 1969-1974. (O'Brien became Rector of Concordia University in 1974.)
The Office of the President and Vice-Chancellor of Concordia University has its origins in the Office of the Principal of Sir George Williams University (SGWU). On August 10, 1973, with the imminent ratification of the merger between SGWU and Loyola College to create Concordia University, a new SGWU Board of Governors was established composed of equal membership from both institutions. On the same day, among new officers appointed, John W. O’Brien, Principal of SGWU, became Rector and Vice-Chancellor, and Patrick Malone, President of Loyola College, became Vice-Rector and Principal of Loyola campus. However, the new university received its official establishment from Quebec only a year later, in August 1974. During this instable situation, the Office of the Rector of Sir George Williams University (“to be known as Concordia University”) operated as much as possible as though Concordia was legally in existence. The English-language titles of Rector and Vice-Chancellor were changed to President and Vice-Chancellor by the Board of Governors, on June 17, 2004. However, the French-language nomenclature for these positions, Recteur and Vice-Chancellier, remained unchanged. As chief executive officer of the University, the President and Vice-Chancellor is responsible for the execution of the decisions of the Board of Governors and of Senate. Vice-Presidents and Chief Officers are reporting to the President, as well as different administrative bodies.
The Department of English of Concordia University has its origins in the respective departments of English of the University’s two founding institutions: Loyola College and Sir George Williams University (SGWU). A formal Department of English was established at the beginning of the 1960s in the two institutions. The administration and faculty of both departments were joined together in 1977 in the wake of the Loyola College and Sir George Williams University merger in 1974.
Between 1966 and 1972 members of the Sir George Williams University (SGWU) Department of English hosted a series of poetry readings that was conceived as an on-going encounter between local (Montreal) poets and some writers from the United States and the rest of Canada. Sponsored by The Poetry Committee of the SGWU Faculty of Arts and the Department of English, these readings involved more than sixty poets from across North America. The series was the creation of three SGWU professors: Howard Fink and Stanton Hoffman from the Department of English and Roy Kiyooka from the Department of Fine Arts.